Le ministre Remis Fulgance Dandjinou (centre) entouré de Charlemagne Abissi, (gauche) et Jean-Paul Toé (droite)

Dans la soirée du 18septembre 2018, a eu lieu dans la salle de conférence des Archives nationales, une conférence débat sur la liberté de la presse au Burkina. Cette conférence a été présidée par le ministre de la communication et chargé des relations avec le parlement M. Rémis Fulgance Dandjinou. Des professionnels des médias et plusieurs étudiants ont pris part à cette conférence publique.

Une vue des participants à la conférence publique sur la liberté de la presse au Burkina

Le thème de la conférence intitulé : « État de la liberté de la presse au Burkina Faso : comment consolider les acquis ? » étant éloquent et c’est sans doute ce qui justifiait que la salle de conférence était archi-comble. Au présidium il y avait Charlemagne Abissi, journaliste et président de l’UNALFA qui assurait la modération, Jean-Paul Toé, juriste et directeur général de l’Observateur des médias et des études au Conseil supérieur de la communication (CSC) ; Yacouba Traoré journaliste écrivain et Secrétaire général de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ISTIC)

et Régis Balima, Chef du département Journalisme et communication de l’Université Ouaga1 Joseph Ki-Zerbo.

Ainsi au-delà du thème central qui a été traité, trois sous thèmes ont également été développés  notamment : La «situation de la liberté de presse au Burkina-Faso : état des lieux, défis et perspectives», animé par M. Jean-Paul Toé ; le «Renforcement des capacités opérationnelles et organisationnelles des médias et des acteurs des médias », présenté par M.Yacouba Traoré, et enfin «quels rôle et responsabilité de la presse dans la promotion de la citoyenneté et de la bonne Gouvernance au Burkina Faso ?», animé par Dimitri Régis Balima.

Toutes ces communications ont été suivies avec un grand intérêt par les participants qui à leurs tour ont pris activement part aux débats à travers des contributions et plusieurs questions d’éclairages.

Alima OUEDRAOGO

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